Drabble à gogo - thème 6 : Kingsman
Jun. 5th, 2017 11:12 amLe thème du 4 juin était une image d'Eggsy dans Kingsman, particulièrement BG dans son nouveau costard :

C'était la première fois qu'Ed prenait l'avion. Il était particulièrement reconnaissant envers Oswald de ne pas avoir eu à expérimenter le vol en classe éco d'un avion de ligne.
Le jet qu'il avait affrété pour les emmener en Italie était très luxueux, et il semblait glisser dans les nuages comme un monorail.
Ed jeta un œil par le hublot et sourit : ça s'était mieux passé que ce qu'il pensait.
Puis son attention se reporta sur son époux et il le dévora du regard. Celui que l'on appelait Le Pingouin était nonchalamment assis dans un des fauteuils en cuir du jet en train de lire le journal ; il ne déparait pas avec le décor, dans son costume bleu très chic, sa cravate pourpre mettant en valeur ses yeux clairs et son teint livide qu'il semblait avoir rehaussé d'un peu de maquillage pour le rendre uniforme – pourtant, Edward aimait sa pâleur, il aimait son allure de croque-mort à paillettes, le contraste entre son physique décalé et le goût très sûr de ses vêtements. Oswald n'était définitivement pas comme tout le monde et Ed l'aimait pour être aussi unique.
Néanmoins, ça ne l'empêchait nullement de trouver Oswald très beau comme ça.
Il se demandait vaguement ce que ça ferait d'ouvrir brutalement cette veste cintrée, de tirer sur cette cravate pour l'embrasser, de défaire la ceinture de ce pantalon si bien ajusté pour parcourir ses cuisses de ses doigts et vérifier si ses sous-vêtements sont d'aussi bonne qualité que le reste.
- Il y a une chambre dans ce jet, signala Oswald avec un demi sourire, sans lever les yeux. Ainsi qu'une douche, si nous en avions besoin, après toute activité physique dans laquelle nous voudrions nous engager.
- Tu lis dans mon esprit ?, gronda Ed.
- Je te connais simplement par cœur, répliqua le Pingouin en abaissant son journal.

C'était la première fois qu'Ed prenait l'avion. Il était particulièrement reconnaissant envers Oswald de ne pas avoir eu à expérimenter le vol en classe éco d'un avion de ligne.
Le jet qu'il avait affrété pour les emmener en Italie était très luxueux, et il semblait glisser dans les nuages comme un monorail.
Ed jeta un œil par le hublot et sourit : ça s'était mieux passé que ce qu'il pensait.
Puis son attention se reporta sur son époux et il le dévora du regard. Celui que l'on appelait Le Pingouin était nonchalamment assis dans un des fauteuils en cuir du jet en train de lire le journal ; il ne déparait pas avec le décor, dans son costume bleu très chic, sa cravate pourpre mettant en valeur ses yeux clairs et son teint livide qu'il semblait avoir rehaussé d'un peu de maquillage pour le rendre uniforme – pourtant, Edward aimait sa pâleur, il aimait son allure de croque-mort à paillettes, le contraste entre son physique décalé et le goût très sûr de ses vêtements. Oswald n'était définitivement pas comme tout le monde et Ed l'aimait pour être aussi unique.
Néanmoins, ça ne l'empêchait nullement de trouver Oswald très beau comme ça.
Il se demandait vaguement ce que ça ferait d'ouvrir brutalement cette veste cintrée, de tirer sur cette cravate pour l'embrasser, de défaire la ceinture de ce pantalon si bien ajusté pour parcourir ses cuisses de ses doigts et vérifier si ses sous-vêtements sont d'aussi bonne qualité que le reste.
- Il y a une chambre dans ce jet, signala Oswald avec un demi sourire, sans lever les yeux. Ainsi qu'une douche, si nous en avions besoin, après toute activité physique dans laquelle nous voudrions nous engager.
- Tu lis dans mon esprit ?, gronda Ed.
- Je te connais simplement par cœur, répliqua le Pingouin en abaissant son journal.