Titre : Tesso des Couronnes Lourdes
Fandom : Les salauds gentilshommes
Rating : R
Genres : porny dub-con, rapport dominant/dominé
Personnages : le capa Bascavi et Tesso des Couronnes Lourdes (le mec qui se fait tuer et qu'on n'a jamais vu, mais qu'on sait que quand même, merde, il avait une dizaine de couteaux et il s'est fait couper les couilles !)
Nombre de mots : 384
Commentaires : Ouais, je sais, personne pouvait s'attendre à ce que j'écrive un truc pareil sur ces deux-là. Non mais vraiment, je comprend votre perplexité hein. Je sais pas, la chaleur sans doute...quoiqu'il en soit, voici une raison hypothétique pour laquelle le capa était tellement vénère de la mort de son favori qu'il a torturé 8 de ses loyaux sujets pour savoir comment il a été assassiné.
Le capa les aimait virils et forts, parce qu'ils étaient d'autant plus excitant à mater. Des gringalets comme Locke Lamora ne l'intéressait pas quand il s'agissait de sexe, parce que la soumission qui lui plaisait le plus était celle qu'il pouvait contraindre à des hommes qui pouvait physiquement se rebiffer.
Certes, il n'était plus tout jeune et la graisse avait quelque peu affaissé sa silhouette, alourdi son corps et amolli ses muscles. Pourtant, il était toujours là, à la tête de son empire, et Tesso des Couronnes Lourdes, l'un de ses pezons les plus précieux, suçait sa queue volumineuse entre ses lèves charnues comme des tranches de viande, avec une avidité non feinte des plus ambitieuse - et dissimulant à merveille son dégoût pour ce genre d'activité. Il faisait un bruit humide étrangement satisfaisant, un clapotis obscène quand sa bouche allait et venait sur le membre, qui risquait d'être entendu si quelqu'un tendait l'oreille derrière la porte close.
Plus que la sensation d'étroitesse humide sur sa verge, c'était bel et bien ce son humiliant qu'il appréciait le plus, parce que c'était sale et dicret; un petit plaisir coupable dont personne ne saurait rien, qui demeurerait un secret connu d'eux deux seulement.
Bascavi aimait glisser ses doigts dans les boucles brunes de son subalterne, griffer son cuir chevelu avec sa bague, et pousser légèrement sur son occiput pour le forcer à l'avaler. Tesso n'y arrivait jamais, gargouillant comme un homme qui se noie, de façon ridicule, et lorsque c'était fini, lorsque le capa déversait sa semence brûlante, gluante au fond du gosier, le pezon lui demandait pardon de l'avoir déçu et c'était encore meilleur de l'obliger à s'excuser pour quelque chose dont il avait forcément un peu honte.
"Tu réessayeras la prochaine fois.", promettait le capa avec bienveillance, et Tesso se contentait de hocher la tête sans rien dire, de sorte que Bascavi pouvait presque croire qu'il aimait ça. Et peut-être même que c'était le cas, puisque le capa était si bien satisfait de ses services qu'il lui arrivait de lui faire des faveurs en retour. C'était un jeu de pouvoirs dont Bascavi ne se lassait pas et qui égaillait ses jours moroses, engrisaillés par les exploits délétères du Roi Gris.
Aussi, quand celui-ci exécuta Tesso en lui coupant les couilles, le capa Bascavi le prit très à coeur !