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( Angst )
( AU )
( Crack!fic )
( Crossover (Batman) )
( First Time )
( Fluff )
( Humour )
( Hurt/Comfort )
( Smut )
( UST )
Titre : Un peu de jalousie ne fait pas de mal
Fandom : RPF
Rating : NC-17
Personnages : Emmanuel Macron/Martin Weill, Cyrille Eldin->Emmanuel
Nombre de mots : 831
Commentaires : En réponse à un mp anonyme sur Tumblr me demandant où était Cyrille Eldin dans toute cette histoire. Car c'est vrai que dès qu'il peut (et c'est souvent), il drague Emmanuel...et celui-ci lui rend plutôt bien !
Rupture - Yann Barthès -> Martin Weill (RPF Le Petit Journal)
Rating : PG-13
Warning : mention de BDSM et lime
Nombre de mots : 325
Absurdement, il s'était mis à espérer que Martin vienne à lui. Mais il avait trop attendu, et désormais c'était trop tard. Il regrettait de ne pas avoir mieux agi, de ne pas avoir poussé les choses dans le bon sens. Il aurait pu tomber amoureux. Ils s'entendaient bien, autant dans le travail que dans le privé, dans les bureaux comme dans la chambre à coucher.
Fait important, Martin acceptait ses penchants sadiques et s'en délectait à merveille ; il faisait un superbe soumis, le temps d'une nuit par-ci, une soirée par-là, et Yann avait eu du mal à se rassasier de lui, ne l'abandonnant qu'une fois épuisé et incapable d'en prendre plus.
Il aimait aussi l'après, quand Martin le remerciait du plaisir donné et qu'ils se touchaient sans que cela soit vraiment sexuel. Juste de l'affection.
Il aurait voulu aller plus loin (la douche ensemble, l'étalage de pommade cicatrisante, ce genre de choses), malheureusement, Martin ne le laissait pas entrer dans son intimité – pas pour de vrai. Il ne le chassait pas, mais il ne l'invitait pas à rester, et ça semblait évident qu'il attendait qu'il parte pour s'occuper tout seul de lui-même.
Yann se demandait si, à présent, c'était son amant qui avait ce privilège. Si leurs ébats étaient aussi violents, si Martin offrait cette même lascivité qui l'avait fait craquer, tout en insolence et tendresse, avec ses poses languides, sa langue acérée, ses baisers avides, mordants. S'il se laissait docilement monter, les fesses hautes et le visage dissimulé dans les coussins, pour étouffer ses cris.
Et à la toute fin, après l'orgasme, pendant la redescente, est-ce qu'il lui chuchotait des petits mots d'amour à l'oreille en caressant amoureusement les petites plaies sur sa peau fragile, promesses non-ternies de bien d'autres étreintes, chose que Yann n'aurait plus jamais la possibilité d'entretenir. Ni marques ni promesses. Tout était fini.
Il détestait l'avouer, mais à présent que Martin était parti, il se sentait terriblement seul.
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